Salvatore, maraîcher carolo, ne vend que du bio sur les marchés

Consommer bio, se détendre bio, se soigner bio,...!  Depuis quelques années, le bio est sur toutes les lèvres!  Ce week-end,  Bio Foodle accueille les amateurs au Palais des Expositions.  Le salon a été créé,  il y a 4 ans, par le Carolo Joseph Méli, pionnier en 1984 de la graine germée,  et fondateur  de l'entreprise "Méli-Jo". Cette année, il  voit encore ses visiteurs augmenter! L'accent est mis avant tout sur les producteurs. On y trouve des locaux comme le maraîcher Salvatore Siciliano, qui parcourt les marchés de Charleroi.  "Aujourd'hui, je me suis spécialisé dans ce type de produit.  En 1 an, la demande a augmenté de plus de 30%" souligne-t-il. "Je remets aussi à l'honneur des légumes dits "oubliés" comme le topinambour, le radis noir, le daïkou, le panais,..."  Des exposants français sont aussi présents. A eux seuls, ils représentent 60%  du salon!  Julien de "Saveurs de Provence" propose des antipasti, du caviar d'aubergine, des piments,... Thomas Wicke, producteur dans l'Aude, s'est spécialisé dans une tapenade avec des olives noires et des abricots, ainsi que dans des pâtés végétaux.  

Même des coiffeurs "bio"!  

Mais il n'y a pas que la nourriture qui est mise à l'honneur. Le bien-être et la relaxation également. Ainsi, les visiteurs découvriront des tables de décompression pour des vertèbres lombaires qui permettent de soulager les douleurs de dos, des savons sans huile de palme aromatisés au thym, romarin, à la sauge ou au lait d'ânesse, ou encore des appareils destinés à détendre les pieds par la réflexologie plantaire. Il existe aussi des coiffeurs "bio"!  Farès Haned a fait le déplacement depuis Paris pour proposer une coupe respectant le tombant naturel. "Je suis venue ici sur les conseils de mon amie Chantal" signale Anne de Charleroi, une habituée. " Je suis certaine que la coupe m'ira à ravir!"  JCH

Un bien fou pour le dos...

... ou pour les pieds!

Une coupe qui respecte le tombant du cheveu 

Le salon se poursuit ce dimanche 2/3 de 10h30 à 19h, à l'espace Géode du Palais des Expositions. Entrée: 4 euros. Place gratuite sur le site www.biofoodle.be

Joshua Claeys dans les travaux !

La Ville Basse est touchée par de gros travaux en ce moment! Démolition de nombreuses maisons et bâtiments dans le cadre du projet: " Rive Gauche",  abaissement des quais au niveau de la Sambre,  chantiers au Boulevard Tirou,... Pour garder le sourire, malgré tout, la troupe du Théâtrothèque, dirigée par Fabien Franchitti,  propose un spectacle: " Charleroi, je t'aime",  dans lequel il invite le public à  voyager  avec la fée de l’amour dans les pires et le plus beaux endroits de Charleroi.  Le passé industriel est également évoqué à travers ses charbonnages et ses sidérurgies, ainsi que d'autres lieux: le Musée de la Photographie,  la gare du Sud,...  "Personne ne sera épargné. Même vous !    Vous êtes carolos ? Aïe ! Vous êtes d’ailleurs ? Aïe! Aïe! Aïe!  Profitons ensemble de ce moment d’humour, de poésie et d’histoire sur la plus grande ville de Wallonie !" lance le directeur artistique. "Charleroi, je t'aime" se compose d'une douzaines de tableaux qui sont autant de tranches de vie.  Le tout   avec l'amour en toile de fond, puisque plusieurs couples s'y croisent.  Les citoyens carolos s'exprimeront aussi à travers de  petites capsules vidéos  qui seront projetées durant le spectacle.  Les spectateurs découvriront aussi des comédiens très doués ( François Helguers, Joshua Claeys, Stevie Cnudde, Alessia Vilain, Véronique Salme,....)  qui campent des personnages attachants.  La mise en scène et l'écriture sont collectives.

"Charleroi, je t’aime "par la Compagnie du fil de l'araignée, du jeudi au samedi à 20h30 et le dimanche à 16h  jusqu’au 2 mars 2014  à la Théâtrothèque ( à l'emplacement de l'Espace Marignan) , Boulevard Tirou, 53, Charleroi. Téléphone: 071/200 760. Prix: 15 euros. Moins de 18 ans/Etudiants/Seniors: 12 euros.

Les moines bouddhistes ont débarqué à Charleroi!

Plus que trois jours avant la grande fête du Carnaval!  Samedi, se déroulaient  les soumonces générales. Des groupes avaient revêtu des habits traditionnels comme les Gilles du Pays Noir ( foulard, sarrau, sabot, apertintailles,... ) D'autres  portaient  des costumes de fantaisie. On a vu ainsi,  parmi les Récalcitrants,  des Superman wallons, des moines bouddhistes, des personnages de Luminus,... Dans les autres groupes,  des Minions ( les Incas),  des masques vénitiens  ( Jeunesse Commerçante ),... Les Gilles de la Ville de Charleroi, les Rescapés, et les Paysans et Paysannes étaient aussi de la partie!

Costumes traditionnels: sarrau, apertintailles, foulards,...

Ne sont-ils pas "Minions"?  

Le Blog de Sudinfo CHARLEROI se veut être proche de VOUS. Nous avons fait appel à vous pour obtenir vos témoignages, vos anecdotes, vos moments de vie, vos coups de coeur, connaître vos préoccupations, vos souhaits de mettre un proche à l'honneur, vos faits divers.

Nous avons reçu un témoignage bouleversant.

Ce témoignage nous vient de Marcinelle, un jeune homme de 38 ans: Sylvain F*****D

"Comment vous décrire mon sentiment actuel, ma vision à la fois contrastée et bouleversante dans laquelle je suis installé ? J'ai 38 ans, actuellement sans emploi dans la région de Charleroi, je suis en couple. Une vie parfaite en apparence si ce n'est que j'ai un défaut et un  étrange sentiment: Je suis une charge ! Ne vous êtes vous jamais senti à un moment donné comme perdu, inutile et un poids pour vous même, pour la société, votre conjoint. C'est mon cas. Etant plus jeune, j'ai échappé à une grave maladie, handicapante dont j'ai été opéré avec succès, qui m'a permis d'obtenir avec raison une pension d'invalidité. J'ai bénéficier de cette pension pendant quelques mois, moins d'un an à vrai dire, par la suite je n'y ai plus eu droit simplement parce que je ne voulais pas être une charge pour la sécurité sociale et je voulais surtout travailler, avoir une vie sociale, vivre comme tous le monde, j'ai donc dû me battre pour reprendre du service comme on dit. Bien des années plus tard, une situation, du travail et une vie de famille plus qu'agréable.

Je me retrouve aujourd'hui sans emploi depuis un an, une difficulté à vivre pour moi qui n'ai jamais voulu profiter du système, abuser des droits sociaux et qui ai toujours voulu travailler, me débrouiller, être autonome et peut être un trop bon citoyen, cela ne m'a jamais rien rapporté que du contraire. Aujourd'hui encore je me dis que si j'avais abusé comme certains le fonts quotidiennement je serais toujours bénéficiaire et probablement à vie de ma pension d'invalidité mais par orgueil, par challenge de la vie, pour ne pas être une charge éventuelle je n'ai pas voulu m'y résoudre. Quand je dis "être une charge" c'est le cas pour moi, (les indemnités de chômage) car je ne trouve pas de travail malgré mes candidatures constantes et nombreuses, mes démarches de formations, mes contacts sociaux que je tente de maintenir avec les moyens financiers du bord et ce sentiment que mon épouse qui elle travaille doit assumer financièrement la plus grande partie du ménage. Alors oui ce sentiment est pour moi une réelle épreuve psychologique et physique car il y a des jours où j'ai du mal à assumer mon inactivité alors que mes compétences me permettrais de pouvoir travailler et me mettre au service d'une société, à ce niveau là je n'ai aucune inquiétude car je n'ai à vrai dire plus aucune raison ou handicap ne me permettant pas d'avoir une activité professionnelle, j'en ai déjà eu et de nombreuses années avec succès.

Cependant quand je vois les licenciements encore en Belgique ces derniers jours à la télévision, le peu d'emploi, la chasse aux chômeurs et l'exclusion prochaine de ceux-ci, les personnes en grande précarité je suis à la fois attristé et je me dis qu'il y a peut être pire que moi, moi qui ai encore la santé, mais j'ai toujours été éduqué à me débrouiller et à ne pas abuser moi même des gens, des systèmes mis en place, des avantages éventuels. Je me dis que je suis le seul à jouer au Monopoly sans tricher comme me le rappelle souvent des amis et parfois je me dégoute de n'être pas plus malhonnête, oui ! Cela peut paraître moche mais je constate avec regrets que ceux qui usent et abusent eux sont souvent bien mieux que ceux qui font les choses en bon citoyen et ne demande au final que peu de chose "Un travail, une vie stable". Il y avait avant deux choses dont on n'échappait jamais en Belgique: Les impôts et la mort, aujourd'hui on peut ajouter tristement "et le chômage". Aujourd'hui je le revendique toujours avec une grande honte et une tristesse quand on me demande ce que je fais dans la vie "Je suis une charge" et j'ajoute pour me justifier et peut-être apaiser ma conscience sur un brin d'humour.... "et cela me pèse". 

NDLR:/ Merci pour votre immense confiance !

Vous pouvez commenter ce témoignage et apporter vous aussi votre vision des choses, vos conseils, votre sentiment et nous faire part tout comme notre lecteur du jour d'un morceau de votre quotidien que nous relayerons avec respect. 

BLOG Charleroi Sudinfo: Si vous aussi vous avez une anecdote sur votre quotidien, une habitude, un événement, vous souhaitez mettre en valeur un proche, nous parler d'une actualité qui vous concerne vous intéresse ou vous préoccupe, un fait qui vous est arrivée, une difficulté, un moment de joie,... n'hésitez pas à prendre contact avec notre équipe de Charleroi Blog Sudinfo au 0494 76 34 24 (Tel et Sms) ou par email àcharleroi.sudinfo@seben.be 

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N'hésitez pas à prendre contact avec notre équipe de Charleroi Blog Sudinfo au 0494 76 34 24 (Tel et Sms) ou par email à charleroi.sudinfo@seben.be  - Contact: Sébastien Delhez & Jean-Claude Hérin. 

A l'occasion de la 6ème édition du festival AfriCulture, un défilé pas comme les autres s'est déroulé sur la scène du Congrès  au Palais des Beaux-Arts, en vue d'élire la "Mama Africa" 2014.  La Carolo Fatimatou Barry  a remporté le titre, vendredi soir !

Les trois premiers prix

En kitambala ( foulard sur la tête),  en robes de soirée très colorées confectionnées  avec du wax ( tissu local) ou en tenues européennes,  elles étaient très élégantes, les  13 femmes concourant au titre de                       "Mama AfriCulture"!  Originaires pour la plupart de la région de Charleroi,   elles entendaient ainsi valoriser la femme africaine et casser quelques clichés qui leur collent à la peau.  Réunies depuis janvier par Mama Wivine, l'initiatrice de ce 2ème  concours, toutes ces mamans sont même devenues des amies! Cette élection a créé un véritable émulation entre elles.  De plus, elles défendent toute une cause:  l'éducation, la lutte contre l'excision, le droit au travail,... Le show était très rythmé, et réservait quelques surprises, comme la présence d'Axel Tedesco surnommé "Michael Jacksel"! "Mon idole, Michaël Jackson aimait aussi la diversité culturelle" note le jeune homme de Jumet.                    

Son idole: Michael Jackson !

Cette année, toutes les mamas ont été primées!  Parmi les membres du jury, Dominique Delescaille, journaliste à la Nouvelle Gazette, ainsi que Priscillia Lambeau et Najim Boumina, gagnants des éditions du Top Model 2009 et 2010 à Charleroi. "Mama Wivine habitait la même rue que moi à Mont-sur-Marchienne. Elle a toujours été une maman "de coeur" pour moi" souligne Priscillia.

Quelques membres du jury

Mama Wivine, l'initiatrice du concours

Un des temps forts du Festival AfriCulture était la projection d'un documentaire sur l'apport de la femme migrante dans le développement. "On constate, par exemple, que celle-ci éprouve encore bien des difficultés, dans le monde, à accéder à des postes de haute responsabilité" constate Annette Ntignoi, coordinatrice.  "Leur intégration n'est pas facile. Contrairement à de très grandes villes ou capitales, comme Bruxelles, par exemple, Charleroi a encore bien du mal à appréhender  la diversité culturelle."  Cette 6ème édition d'AfriCulture  est organisée par le CFAH ( Collectif des Femmes Africaines du Hainaut (CFAH).   Coïncidant avec la semaine de la Journée Internationale de la Femme ( 8 mars) ,  le festival  a débuté, vendredi après-midi, par un flash mob en présence de Yannick ( Ces années-là ).  La journée de samedi, destinée aux rencontres,   s'est terminée  par un concert semi-live avec 5 artistes,  au PBA.  Le festival se poursuit au CFAH à 17h, le mardi 4 mars,  par des ateliers pratiques et le 5 par une journée de réflexion. Les membres du CFAH posent des actes concrets.  Quelques-unes se rendront à New-York,  à  partir du 9 mars,  à la Commission générale de la Femme. JCH

Pour toute info: Collectif des Femmes Africaines du Hainaut: Tél. 071/27 03 12. 0498/53 86 65.

Fatimatou , élue miss Mama AfriCulture 2014 

Agée de 33 ans, Fatimatou Barry est originaire de la Guinée-Conakry.   Elle habite à Charleroi depuis 15 mois. Auparavant,  elle a été accueillie,  pendant 2 mois et trois semaines,  au centre Chantecler à Oignies.   Actuellement, elle travaille comme administratrice au sein du Collectif des Femmes Africaines du Hainaut.  Fatimatou participe à de nombreux événements au sein de l'association.  Une des dernières réunions auxquelles elle a participé était au Centre Fédasil à Jumet.  "Mon souhait est de revoir mes enfants Sophie ( 10 ans),  Lamine et Marianne ( 8 ans)  qui sont restés en Guinée-Conakry,  le plus rapidement possible.  Ils me manquent énormément. Heureusement, les procédures sont en cours pour qu'ils me rejoignent en Belgique" souligne-t-elle. "Si je me suis inscrite à ce concours, c'est avant tout parce que je suis maman, et je sais que, par mon dynamisme et mon investissement, je peux défendre  leur cause dans le monde". JCH

Le palmarès 

Mama Africa : Fatimatou 

1ère Dauphine: Véronica 

2ème Dauphine: Wete Rosalie 

Mama Photogénique: Clémentine 

Mama Fair-Play: José-Anne 

Mama Courage: Marguerite 

Mama Volontaire: Agnès 

Mama Afri-Carolo: Jacqueline 

Mama Elégante: Liliane 

Mama Révélation: Claudia 

Mama Zen: Christelle 

Mama Beautiful: Elisabeth 

Bienvenue à tous pour ce repas couscous au Profit de la fête du Scapè le samedi 15 mars à partir de 19h au Salon communal de Monceau et manifester ainsi votre soutien à cette fête bien plus que centenaire (135 ans !) ! Serge Beghin remercie tous ses amis qui, bénévolement, donnent de leur temps tout au long de l'année pour que cette fête persiste !

Beaucoup d'ambiance, en Ville, lors du Mardi-Gras! Les différents groupes formant le cortège ont fait sensation aussi bien à la Ville Haute qu'à la Ville Basse. Quant à notre bourgmestre, il s'est bien amusé à lancer des confetti! JCH

Anaïs n'a qu'1 an, et elle fête déjà le Carnaval!

Que serait le Carnaval sans ses Gilles?

Spirou est toujours le bienvenu au Carnaval

Et les géants aussi !

L'école carolo  de danse "Yuka Ballerina" peut-être fière!  Plusieurs de ses élèves ont été primés lors du concours de la CND ( Confédération de Danse Nationale ), qui s'est tenu,  le 16 février au Waux-Hall de Nivelles. La compétition, au départ française, s'est étendue à la Belgique et à l'Espagne. Darcy Paris  ( 8ans ) et Lorena Baretella  ( 9 ans ) ont obtenu le premier prix,  et sont qualifiées pour se rendre à la grande finale internationale,  entre le 28 et 31 mai,  au Palais des Congrès de Lyon.  Déborah Bohy ( 15 ans ) et Christie Shakobé   ( 11 ans ) ont,  elles aussi,  reçu  un premier prix à l'unanimité.  Elles se rendront à une autre finale internationale en Espagne,  les 3 et 4 mai.  Valentin Cuyle ( 13 ans )  et Manon Waertel ( 12 ans) sont sortis deuxièmes du concours. Un beau palmarès pour cette école de danse, placée sous la codirection artistique de Yuka Ohara, danseuse de renommée,  et de Tomo Dhimoïla, leader de la Compagnie "Crazy Alliance".  

Ouvert  depuis 25 ans, au 9, Avenue de l'Europe, le centre accueille plus de  300 élèves ( déjà à partir de 3 ans!), dans des disciplines très diverses de danses.  Les résultats brillants obtenus par ces élèves s'expliquent en bonne partie grâce à une Formation Professionnelle/Option danse classique mise  en place depuis septembre, par Spiro Dhimoïla, professeur de danse classique  et conseiller pédagogique au sein de la Yuka Dance Academy.  Les étudiants, qui  ont un volume horaire en fonction de leur âge, reçoivent en moyenne   15 heures de cours par semaine. "Avant de me lancer, j'ai étudié la situation  en Wallonie/Bruxelles. Il n'y a que trois centres qui proposent des humanités chorégraphiques: à Louvain-la-Neuve, à Liège, et à Bruxelles. J'ai voulu que Charleroi puisse aussi dispenser une solide formation à des jeunes. " note Spiro.  "Après quelques mois de travail, on constate déjà les fruits de l'excellence du travail.  A l'avenir, d'autres élèves nous surprendront encore!".  Des bourses d'études sont offertes à chaque élève participant à des formations professionnelles.  Le hip hop en fait également partie.  JCH 

Pour tous contacts: Spiro Dhimoïla: 0494/826 148 

Viendrez-vous voir le Bonhomme Hiver et accessoirement, assister à la représentation du spectacle monté par notre équipe magique tout au long de cette semaine?

La 1ère Fête de la B.D. de Courcelles approche à grands pas.

Cet évènement se déroulera le dimanche 9 mars 2014 de 10h00 à 18h00 à la salle "Miaucourt" rue Paul Pastur 115 à Courcelles (Belgique). 

Au programme :     - Bourse B.D. d’occasions et de collections de 10h00 à 18h00.